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Ce mercredi 25 mars à Alger, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, deux anciens Premiers ministres de l’ère du président déchu, Abdelaziz Bouteflika, ont été condamnés respectivement à 15 et 12 ans de prison ferme. Ils sont tous deux accusés de corruption. En revanche, la Cour d’appel d’Alger a allégé des peines infligées à l’encontre d’ex-ministres et patrons algériens. Ces derniers étaient impliqués dans un scandale automobile et sont accusés de financement illégal de la dernière campagne électorale de Bouteflika. Leur condamnation à 10 ans de prison ferme en première instance a ainsi été réduite de moitié. Celle d’Ali Haddad, l’ancien président d’une organisation patronale, est passée de sept à quatre ans de prison.
Pour rappel, en avril 2019, après deux décennies au pouvoir, Abdelaziz Bouteflika a été contraint de démissionner après avoir été hué par des manifestants dans les rues. Ces derniers ont continué à réclamer le renvoi de ses complices. Plusieurs politiciens et hommes d’affaires de premier plan ont été interrogés ou détenus pour des allégations de corruption. Depuis le début de ce mois, une vingtaine d’anciens responsables politiques, puissants patrons et hauts fonctionnaires ont été jugés par la Cour d’appel.
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