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Après un long silence, le ministère de la Justice s’est exprimé hier mercredi, sur l’affaire du Koweïtien accusé de viol sur mineure et d’atteinte à la pudeur à Marrakech. «La liberté provisoire accordée à un ressortissant koweïtien présumé impliqué dans une affaire de viol et attentat à la pudeur sur mineur, fait suite à une décision judiciaire de l’autorité judiciaire compétente dans le cadre d’une plainte qui lui a été soumise», fait savoir le ministère dans son communiqué.
Ainsi, le département de la justice exprime son incapacitéà se prononcer dans ce genre d’affaires, estimant que la liberté provisoire accordée à l’accusé est une affaire purement judiciaire dans laquelle il ne peut pas intervenir «par respect du principe de l’indépendance du pouvoir judiciaire, conformément à la Constitution et aux lois nationales».
Par la même occasion, le département gouvernemental a évoqué l’accord de coopération judiciaire entre le Maroc et le Koweït conclu en 2008. Il estime que celui-ci fixe le champ d’intervention du ministère à transmettre les demandes émanant des instances judiciaires aux autorités koweïtiennes, rapporte Medias24.
Fin janvier, le ressortissant koweitien avait été arrêté dans le cadre d’une enquête pour agression sexuelle contre une mineure de 14 ans dans la ville de Marrakech. La chambre criminelle de la ville ocre lui avait accordé la liberté provisoire le 28 janvier 2020, dans l’attente de son procès. Ce dernier, âgé de 24 ans, en a profité pour prendre la fuite et quitter le Maroc après avoir payé une caution de … 30 000 DH.
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