Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Selon le Matin, cette rencontre intervient alors que le Royaume-Uni redéfinit les contours de sa politique étrangère au lendemain du Brexit. Un meeting qui a capté les nombreux acteurs économiques des deux pays. Au total, 116 entreprises marocaines et 225 Britanniques ont répondu présents, nous apprend l’Économiste.
Booster les relations économiques entre lesdeux pays
Ces entreprises se sont réunies autour d’un objectif commun: étudier les opportunités d’échanges commerciaux et d’investissements entre les deux pays. Dans ce sens, des rencontres B to B ont étéprévues et ont abouti à la signature d’un mémorandum d’entente entre les deux pays. Les Inspirations Éco nous rapporte que ce dernier a pour objectif la création d’un groupe de travail conjoint chargé d’étudier les moyens à même de booster les investissements entre les économies respectives des deux nations.
Il faut cependant noter que malgré le grand potentiel de marché que représentent le Maroc et le Royaume-Uni, le volume des échanges commerciaux entreeux reste faible. Il est estimé à 18,3 milliards de DH en 2018, soit un peu moins de 4 % de l’ensemble des échanges du royaume avec l’Union européenne, selon le ministère délégué chargé de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Les exportations marocaines représentent environ 8 milliards de DH, faisant du Royaume-Uni son 7e client et 11e fournisseur dans le cadre de l’accord de libre-échange avec l’Union européenne.
D’autres sources de collaboration
Les Inspirations Éco note que les Marocains installés en Grande-Bretagne envoient annuellement plus de 5 milliards de DH à leur pays d’origine.Côté tourisme, 683362 Britanniques se sont rendus au royaume au titre de l’année 2018, en hausse annuelle de 4 %. Cela correspond à 6 % du nombre global de touristes accueillis par le Maroc sur l’année, plaçant ainsi le Royaume-Uni au 4e rang des touristes européens.
Le Matin rapporte par ailleurs que le Maroc pourrait accompagner les pays africains en matière d’acquisition d’expertise technique et leur faciliter l’accès aux marchés européen et britannique. Une réflexion exprimée lors du «UK Africa Investment Summit 2020» par Mamadou Diallo, entrepreneur social et président de la coopérative «Partenariat des jeunes pour le développement durable» en Guinée-Conakry. Dans une déclaration à la MAP, Diallo a souligné que le «Maroc possède une grande expertise en matière technique et compte déjà un grand marché en Europe», précisant que «techniquement, le Maroc pourrait accompagner les pays africains pour améliorer leur production, mais aussi leur offrir accès au grand marché dont il dispose en Europe ou au Royaume-Uni».
Temps de lecture : 3 minutes
Sahara : le blocage politique et l’implication algérienne discutés au Conseil de sécuritéLe Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni mardi à huis clos pour examiner les derniers développements dans le dossier du Sahara. La réunio… |
Parlement : les enjeux de la session du printempsL’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 a vu la réélection du candidat du Rassemblement national des indépendant… |
Maroc-Belgique : un socle solide pour une coopération multidimensionnelleLa Haute commission mixte de partenariat entre le Maroc et la Belgique a tenu sa 3e réunion ce lundi 15 avril 2024 à Rabat, sous la coprésid… |
Retour de Donald Trump, good or bad pour le Maroc ?‘’You’re fired !’’… Pas vraiment. L’aura Donald Trump pèse sur les Américains. Le showman semble à nouveau engagé dans la course à la prési… |
Maroc-France : une nouvelle page de coopération s’ouvreHier, la quiétude régnait à Casablanca, enveloppée dans une fraîcheur inattendue et un épais brouillard, typiques des derniers jours du Rama… |
L’UNTM et la Confédération des TPE-PME absentes du dialogue socialAlors que le 1er mai se profile, une question se pose avec insistance : les syndicats réussiront-ils à faire valoir leurs revendications, no… |
Sahara : «La France s’expose à être reléguée au rang de puissance du passé», Hafid BoutalebDepuis quelques années, entre le Maroc et la France, c’est parfois chaud, parfois froid. Au début de son premier mandat, Macron avait exprim… |
Dialogue social : Aziz Akhannouch ouvre les discussions avec l’UMTCe mardi 26 mars à Rabat, une nouvelle phase du dialogue social a été lancée sous la présidence d'Aziz Akhannouch, chef du gouvernement. L'é… |