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Ce lundi 13 janvier, l’ONU a publié un projet de plan qui sera étudié lors de la 15e Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (CDB), qui doit se tenir en octobre 2020 à Kunming, en Chine. Cette première ébauche propose de protéger au minimum 30 % de la planète (terre et mer) d’ici 2030. Le texte décrit une feuille de route pour combattre la crise de la biodiversité qui, selon de nombreux scientifiques, marque le début de la sixième extinction massive de la Terre. « L’objectif est de stabiliser le taux de perte de biodiversité d’ici à 2030, puis de faire en sorte que cette biodiversité augmente de nouveau d’ici à 2050 en laissant les écosystèmes se régénérer », explique Aleksandar Rankovic, chercheur à l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), chargé du dossier COP15.
Jusqu’à présent, les objectifs de l’ONU pour préserver ou restaurer les écosystèmes ont échoué, et ce faute de soutien politique, de mise en œuvre et d’application. Mais la nécessité d’agir n’a jamais été aussi urgente. En effet, en mai 2019, le premier rapport de l’ONU sur « l’état de la nature » a révélé qu’un million d’espèces de plantes et d’animaux sont menacées d’extinction. Au total, une espèce sur huit, animale et végétale, « risque de disparaître »dans une« brève échéance ». De plus, le rapport a révélé que 75 % de l’environnement terrestre a été « gravement altéré » par les activités humaines.
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