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Ce jeudi 2 janvier, le ministre de la Justice libanais, Albert Sarhane, a annoncé que son pays a reçu une demande d’arrestation d’Interpol visant Carlos Ghosn, l’ancien patron de l’Alliance Renault-Nissan. Ce dernier s’est enfui du Japon où il étaitpoursuivipour malversations financières. Il est arrivé le lundi 30 décembre 2019 au Liban, à bord d’un jet privé en provenance de la Turquie.
Bien que l’organisation de coopération policière n’émet pas de mandats d’arrêt et ne peut déclencher ni enquêtes ni poursuites, les pays membres et les tribunaux internationaux peuvent demander la publication de « notices rouges ». Cette alerte internationale concernant les fugitifs recherchés « consiste à demander aux services chargés de l’application de la loi du monde entier de localiser et de procéder à l’arrestation provisoire d’une personne dans l’attente de son extradition, de sa remise ou de toute autre procédure judiciaire ». Puisque le Japon n’a pas de traité d’extradition avec le Liban, il reste à voir l’attitude que ce dernier envisaged’adopter vis-à-vis de la demande d’Interpol.
Par ailleurs, les autorités turques ont arrêté aujourd’hui sept personnes impliquées dans cette affaire. Les sept détenus, dont quatre pilotes, un directeur de compagnie de fret et deux employés d’aéroport, sont soupçonnés d’avoir aidé Ghosn à planifier son évasion, selon l’agence de presse turque DHA.
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