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Saad Hariri a déclaré ce mardi 26 novembre qu’il ne voulait pas être Premier ministre d’un nouveau gouvernement, qualifiant sa décision de «irrévocable » et se disant confiant que le Président Michel Aoun va entamer des consultations pour désigner une autre personne.
Hariri a démissionné le 29 octobre à la suitedes protestations nationales réclamant le départ de l’élite dirigeante libanaise. Son départ a mis fin à une coalition gouvernementale comprenant le puissant groupe musulman chiite soutenu par l’Iran, leHezbollah. Confrontés à leur pire crise économique depuis la guerre civile des années 1975-1990, les principaux partis du pays n’arrivent toujours pas à se mettre d’accord sur la personne qui va remplacer le Premier ministre sortant.
« Je m’en tiens à ma décision “tout mais pas moi” afin que soit formé un gouvernement qui puisse répondre aux aspirations des jeunes », a déclaré Hariri, principal homme politique sunnite du Liban. « Après avoir annoncé cette décision claire et définitive, j’ai confiance que le Président de la République commencera immédiatement des consultations parlementaires » afin de désigner un nouveau Premier ministre, affirme-t-il. Et d’ajouter : « Il est clair que le déni chronique exprimé à plusieurs reprises au cours des dernières semaines est plus dangereux encore que la crise nationale majeure et la crise économique aiguë que traverse notre pays et qu’il nous empêche de faire face à ces deux crises imbriquées ».
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