Quelques heures après le lancement de l’offensive de la Turquiecontre les Kurdes, Trump a publié une déclaration critiquant l’opération : « Les États-Unis n’approuvent pas cette attaque et ont clairement indiqué à la Turquie que cette opération était une mauvaise idée »,avant de préciser : « Il n’y a pas de soldats américains dans la région ». C’était une réaction très calme comparée au ton indigné des membres du Congrès, des alliés étrangers et des responsables de sa propre administration.
Cependant, selon The Guardian, l’offensive de la Turquie a été déclenchée le dimanche 6 octobre par un appel entre Donald Trump et le président turc Recep Tayyip Erdogan, dans lequel le président américain avait, selon les Turcs, confié à Ankara la direction de la campagne contre l’État Islamique en Syrie. Gülnur Aybet, l’un des principaux conseillers d’Erdogan, a déclaré à CNN : « Le président Trump et le président Erdogan se sont entendus sur la nature exacte de cette opération ». Trump a ensuite annoncé le retrait des troupes américaines de la région le jour même.
En plus, selon une source militaire proche du dossier, citée par Fox News, « le président a répété à plusieurs reprises : “ Laissez les Turcs le faire ! ” » En référence à la Syrie et à la lutte contre l’État islamique. Dans des remarques ultérieures, Trump a présenté l’invasion comme une fatalité historique, affirmant que les Turcs et les Kurdes « se sont battus depuis des siècles ». Il a également minimisé la dette américaine vis-à-vis des combattants kurdes, en déclarant : « Ils ne nous ont pas aidés pendant la Seconde Guerre mondiale, ils ne nous ont pas aidés avec la Normandie… mais ils sont là pour nous aider quand il s’agit de leur terre ».
Selon The Week, « la politique étrangère de Trump reflète son comportement personnel. Il est erratique, peu fiable, hypocrite, avide, irréfléchi, autodestructeur, facilement manipulable, immoral, et brutal ».
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Rédaction LeBrief - 22 août 2023