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L’annonce a été faite lors de la réunion de la direction du PJD. Toutefois, El Othmani s’est abstenu de dévoiler l’identité des (futurs) ministres et les portefeuilles qui leur seront attribués. Le chef de l’exécutif a déclaré qu’il a remis au roi Mohammed VI, 3 profils pour chaque département ministériel. C’est maintenant ausouverain que revientle dernier mot.
La même source affirme que le portefeuille qui devait revenir au PPS, notamment celui de la Jeunesse, des Sports et de la Culture va être attribuée au PJD. L’un des 3 candidats est Mohamed Amekraz, secrétaire général de la Chabiba PJDiste. Parmi les surprises que prévoit ce remaniement, l’octroi du ministère de la Justice à l’USFP. Driss Lachgar, chef du parti avait postulé pour ce poste avant de recevoir un non catégorique du chef de l’exécutif.
Sauf rebondissements de dernières minutes, les PJDistes Mohamed Yatim, Lahcen Daoudi, Bassima Hakkaoui, Najib Boulif, Khalid Samadi et Mustapha El Khalfi devraient quitter le gouvernement. Le même sort attend Mohamed Aujjar et Rachid Talbi Alami du RNI et Mohamed Laâraj, du Mouvement populaire. Mustapha Ramid et Saïd Amzazi pourraient conserver leurs postes, souligne Akhbar Alyaoum.
Pour sa part, Assabah dans son édition du 7 octobre, souligne que la composition du nouveau gouvernement sera annoncée ce lundi ou mardi au plus tard. Le quotidien affirme que d’ici la fin de l’année 2019, plus de 200 responsables administratifs seront limogés dans un balayage général qu’Assabah qualifie d’« Inédit ».
De son côté, Al Massae affirme dans sa livraison du même jour que le gouvernement sera réduit à 22 membres et sera nommé avant l’ouverture de la session parlementaire du vendredi prochain. Selon le quotidien arabophone, le sort de certains portefeuilles reste flou, notamment celui du ministère délégué chargé de la fonction publique et celui du porte-parole du gouvernement.
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