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La décision de la Cour de Cassation française signifie que l’affaire va maintenant reprendre devant les procureurs qui décideront si Sarkozy doit être jugé. Ce dernier nie tout acte répréhensible.
L’affaire dite « Bygmalion » contre Sarkozy concerne des accusations selon lesquelles le parti politique de l’ancien président, alors connu sous le nom d’UMP, aurait travaillé avec une agence de relations publiques pour cacher le coût réel de sa réélection.
La France fixe des limites strictes aux dépenses électorales. Les procureurs affirment que la société de relations publiques Bygmalion a facturé l’UMP au lieu de la campagne, permettant à Sarkozy de dépenser presque le double du montant permis.
Même si les magistrats instructeurs n’ont trouvé aucune preuve que Sarkozy a initié cette fraude, y a participé ou en a même été informé, ils ont estimé qu’il est peu probable que le personnel avait la liberté de prendre ces décisions en toute impartialité.
Après cinq ans au pouvoir, Sarkozy a été battu par le candidat du Parti socialiste François Hollande aux élections de 2012. La société Bygmalion a été liquidée en 2014. Si le procès se poursuit, Sarkozy sera le premier président français sur le banc des accusés depuis feu Jacques Chirac, qui l’a précédé à la tête du pays de 1995 à 2007.
Chirac, décédé la semaine dernière, a été reconnu coupable d’utilisation abusive de fonds publics et condamné à une peine d’emprisonnement avec sursis en 2011.
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