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L’industrie chinoise de la transplantation d’organes a connu une croissance exponentielle au début des années 2000 et, aujourd’hui, la Chine est le pays de prédilection pour les patients étrangers qui ont besoin d’une transplantation.
« Killing to live?: The Dark Side of Transplant Tourism in China » est un documentaire diffusé par la télévision coréenne Chosen TV en 2017, il fait état d’une enquête sur le centre de transplantation d’organes du premier hôpital central de Tianjin, en Chine. L’hôpital compterait 500 lits dédiés au prélèvement et garantirait à ses patients, des organes de «?jeunes donneurs en bonne santé?».
«?En Chine, les organes sont faciles à obtenir. Je ne sais pas d’où ils viennent. Il ne leur faut que deux heures pour apporter des organes frais?», a déclaré aux cinéastes une infirmière en chef.
Il y a beaucoup d’argent en jeu. Selon le rapport Kilgour – Matas, les prix des organes en 2006 étaient de 62 000$ pour un rein, de 98 000 à 130 000$ pour un foie, de 170 000$ pour un poumon, de 160 000$ pour un cœur et de 30 000$ pour une cornée. La question qui se pose est : d’où viennent ces organes?
Les rapports d’enquête ont montré que les prisonniers religieux et politiques sont soumis à un prélèvement forcé d’organes. En d’autres termes, ils sont tués pour leurs organes.
La situation de la Chine reste particulière. Même s’il existe des abus de transplantation dans de nombreux pays, celui de la chine est orchestré par l’État qui en tire profit.
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