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L’Algérie se prépare pour son 25e vendredi consécutif de manifestations anti-gouvernementales. Le mouvement a déjà réussi à obtenir la démission du président du pays et les arrestations de nombreux fonctionnaires et élites du pays, mais les manifestants continuent à descendre dans la rue en grand nombre. Qu’espèrent-ils réaliser et y a-t-il une fin à l’impasse politique dans laquelle se trouve l’Algérie ?
Les manifestations ont commencé le 16 février après la décision du président Abdelaziz Bouteflika, affaibli et âgé, de se présenter pour un cinquième mandat.
Les vastes manifestations ont forcé ce dernier à démissionner le 2 avril, sur ordre de l’armée. Mais plus tard dans la semaine, les manifestants ont repris avec véhémence.
Leur cible depuis le départ de Bouteflika a été un groupe d’élite connu sous le nom de « le pouvoir », un sombre réseau de politiciens, de généraux de l’armée et d’hommes d’affaires que de nombreux Algériens considèrent comme les véritables dirigeants du pays depuis son indépendance de la France, en 1962.
Ces figures incluent le chef de l’armée Ahmed Gaid Salah, considéré par beaucoup comme le nouveau dirigeant du pays, et le remplaçant intérimaire de Bouteflika, Abdelkader Bensalah.
Les efforts pour organiser de nouvelles élections afin de trouver un remplaçant permanent à Bouteflika sont au point mort, l’opposition affirmant que tout scrutin tenu avant que des changements radicaux du système politique soient apportés ne ferait que ramener au pouvoir le régime précédent.
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