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L’intelligence artificielle, terme créé par John MacCarthy, sert principalement à transmettre à une machine des caractéristiques et fonctions propres au vivant, notamment le raisonnement, la mémoire, la perception et la rationalité. Aujourd’hui, ces machines créées dans ce cadre offrent à l’humain ce qu’il n’a pas réussi à faire seul, y compris en médecine.
Développée par des chercheurs américains du centre médical Cedars-Sinai, une intelligence artificielle est mise au point pour mesurer et prévenir une attaque cardiaque sur cinq ans. Cet outil permet aussi d’analyser les résultats d’un angioscanner (visualisant des vaisseaux sanguins) en cinq à six secondes. A contrario, l’angioscanner, appelé aussi (CTA) est le seul outil qui faisait ce genre d’analyses cardiovasculaires et prend plus de temps que la nouvelle découverte, notamment une demi-heure.
La principale autrice de cette nouvelle étude, Damini Dey, explique «quand l’analyse du CTA prend 30 minutes à un spécialiste, ce programme pourrait le faire en cinq ou six secondes».
Voir aussi :Intelligence artificielle : quels enjeux éthiques et sociaux ?
L’IA au service de l’humanité
Selon l’étude publiée par le centre médical, cette intelligence artificielle a été basée sur les données des diagnostics d’angioscanner effectués sur 921 patients. Les chercheurs spécialistes ont remarqué une corrélation entre les résultats de chaque cas. A posteriori, ils ont classé les patients en deux catégories, notamment: ceux ayant un risque élevé d’avoir une attaque cardiaque et ceux avec un risque faible, dans les cinq ans à venir.
En effet, il s’agit d’un progrès énorme de la médecine, afin d’aider les futurs médecins, ainsi que les patients à sélectionner les traitements adéquats. Néanmoins, accéder à un dispositif sera très difficile, compte tenu du coût élevé du CTA, déjà peu accessible aujourd’hui.
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