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La femme d’État birmane Aung San Suu Kyi a été condamnée, ce lundi 6 décembre, à quatre ans de prison. L’ex-icône de la démocratie a écopé de cette peine pour incitation aux troubles publics et violation des règles sanitaires liées à la Covid-19. Il s’agit de la première peine prononcée à son encontre.
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Figure de l’opposition non violente à la dictature militaire de son pays, la lauréate du prix Nobel de la paix en 1991 est assignée à résidence depuis le coup d’État du 1er février. Jugée depuis juin, elle est poursuivie par la junte pour de nombreux autres chefs d’accusation, notamment l’importation illégale de talkies-walkies, la sédition, la corruption, la fraude électorale…. Si elle est reconnue coupable de tous les chefs d’accusation, elle risque des dizaines d’années de prison.
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De nombreux observateurs dénoncent un procès politique visant à écarter Aung San Suu Kyi, qui est de facto chef du gouvernement de la Birmanie depuis 2016. Les débats du tribunal spécial dans la capitale construite par les militaires ne sont pas accessibles aux journalistes et les avocats de la défense sont interdits de parler aux médias.
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