Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a dévoilé ces nouvelles recommandations pour le Projet de loi de Finances 2022 (PLF 2022). Ces propositions, soumises au ministère de l’Économie et des Finances, s’inscrivent dans le cadre d’une démarche constructive et participative.
Cette année, la CGEM a concentré ses recommandations sur la relance économique post-Covid et aux ambitions du Nouveau modèle de développement (NMD), dont l’implémentation requiert la mobilisation d’importantes recettes pour le financement des politiques et des investissements publics, mais également pour l’orientation de la fiscalité en faveur de la solidarité, de l’innovation, de la compétitivité et de la durabilité.
Pour la CGEM, la récente publication de la loi-cadre sur la fiscalité, dont les termes ont été approuvés par l’ensemble des parties prenantes lors des troisièmes assises de la fiscalité, représente un signal positif donné par l’Administration pour poursuivre les réformes économiques et sociales majeures du pays. Ainsi, le patronat appelle à «la préservation de la compétitivité des entreprises soumises à la concurrence mondiale, à travers, entre autres, l’allègement de la pression fiscale, la revue de la taxation des intrants à l’import, la mise en place d’une fiscalité verte pour favoriser une transition écologique responsable et la réduction des charges sociales».
La CGEM souligne aussi qu’il faut garantir l’équilibre dans les trésoreries des entreprises tout en maintenant leurs capacités de financement, et ce, à travers l’accélération de la réforme de la TVA, qui représente l’épine dorsale de l’équilibre financier des entreprises. En outre, elle recommande de renforcer les mécanismes de confiance entre le contribuable et l’Administration «pour démocratiser la participation à l’impôt dans la transparence exigée des deux parties, en encadrant le contrôle et les sanctions».
De plus, il est également question de soutenir davantage l’investissement du tissu productif grâce à une consolidation de la commande publique «en maintenant les budgets alloués, l’encouragement de la préférence nationale et l’orientation d’une quote-part significative aux TPME». Enfin, la CGEM se dit engagée dans une démarche concertée avec les pouvoirs publics, pour concrétiser l’ensemble de ces propositions en vue d’accélérer la croissance économique du pays.
Temps de lecture : 3 minutes
Nairobi : Nasser Bourita au Sommet africain sur les engrais et la santé des solsLe Sommet africain sur les engrais et la santé des sols, a entamé jeudi ses travaux à Nairobi avec la participation du Royaume. A l'occasion… |
ANAPEC et IFMIA : un partenariat stratégique pour stimuler l’emploi dans le secteur automobileL’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC) et l'Institut de formation aux métiers de l’industrie d’automobile (… |
Intelaka : un programme sous la loupe de la Cour des comptesLa Cour des comptes a récemment publié un rapport accablant sur le programme gouvernemental Intelaka, conçu pour dynamiser l'entrepreneuriat… |
À Dallas, le Maroc dévoile ses opportunités d’investissementsL'événement "Invest in Morocco", organisé à Dallas lors du 16e Sommet des affaires USA-Afrique, a mis en lumière les avantages du Maroc en t… |
Bank of Africa fait son entrée dans le capital de Bank of PalestineMardi, Bank of Africa (BOA) et Bank of Palestine (BOP) ont conclu un partenariat stratégique pour renforcer la coopération économique entre … |
Air Côte d’Ivoire inaugure une nouvelle liaison directe Casablanca-AbidjanAir Côte d'Ivoire a inauguré une nouvelle liaison directe reliant Casablanca à Abidjan, prévue pour le 14 mai. Cette annonce a été faite lor… |
Nairobi : le Maroc engagé à partager son expérience agricole (Mohamed Sadiki)Le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a déclaré que la santé des… |
Myrtilles marocaines : essor d’une industrie florissante sur la scène mondialeEn seulement quinze ans, la myrtille marocaine, un fruit autrefois inconnu dans le Royaume, est devenue une culture florissante, plaçant le … |