Travailleurs marocains à l’étranger : protéger, suivre, réinsérer
Agriculture : image d'illustration © DR
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Les travailleurs marocains expatriés bénéficient souvent de meilleures rémunérations que dans leur pays d’origine, mais restent confrontés à diverses atteintes à leurs droits fondamentaux. Des ONG et les principaux concernés dénoncent régulièrement ces abus, faisant de cette question un enjeu social et politique récurrent.
Conscient de ces défis, le ministre de l’Inclusion économique, Younes Sekkouri, insiste sur l’importance d’un encadrement juridique efficace pour garantir la protection des travailleurs à l’étranger. Il rappelle que le Maroc a signé 12 accords avec plusieurs pays afin de s’assurer que ses ressortissants bénéficient de conditions de travail équitables, similaires à celles des citoyens locaux. Dans cette optique, des discussions ont également été entamées avec des nations ne disposant pas encore d’accords bilatéraux, notamment le Portugal.
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Le ministère collabore aussi avec les agences locales d’emploi des pays d’accueil pour assurer un suivi constant du parcours des travailleurs marocains et éviter toute dépendance exclusive au secteur privé. Actuellement, environ 40.000 Marocains partent chaque année travailler à l’étranger, principalement en Espagne et en France, mais aussi au Canada, en Allemagne et dans le Golfe.
Pour les saisonnières en Espagne, toutes ont été déclarées à la sécurité sociale, et un programme vise à prolonger leurs contrats pour faciliter leur séjour. Par ailleurs, des mesures ont été mises en place pour accompagner les travailleurs de retour au pays, notamment à travers le programme « Wafira », encourageant l’investissement et la création d’entreprises.
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