Programme « Moussalaha » : 239 détenus bénéficiaires à ce jour
Mohamed Salah Tamek , délégué général à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion © DR
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17 détenus ont bénéficié de la dixième édition du programme « Moussalaha » (Réconciliation), portant à 239 le nombre total des bénéficiaires depuis son lancement en 2017. C’est ce qu’a indiqué, jeudi 28 juillet à Salé, le délégué général à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), Mohamed Salah Tamek.
Il a précisé que 180 parmi ces détenus ont été libérés, 137 ont reçu une grâce royale alors que 18 ont vu leurs peines réduites. Ces chiffres portent le taux des bénéficiaires de la grâce royale à 65%.
Selon le responsable, le programme « Moussalaha » a été étendu pour inclure les femmes détenues en vertu de la loi antiterroriste, et ce, lors de sa 5e édition. Celle-ci a profité à dix bénéficiaires sur un total de 13 pensionnaires, soit un taux de participation de plus de 77%, a-t-il indiqué. L’ensemble des bénéficiaires de cette édition spéciale ont été relaxées, dont huit à la faveur d’une grâce royale et deux autres au terme de leurs peines.
Dans la foulée, Tamek a expliqué que la DGAPR a adopté un nouveau plan de réhabilitation pour la réinsertion des détenus. Celui-ci est basé sur l’individualisation des programmes et des activités en la matière, comme le programme « Moussalaha », dédié au profit des condamnés dans le cadre des affaires d’extrémisme et de terrorisme.
Pour rappel, ledit programme a été élaboré par la DGAPR, en s’appuyant sur ses propres ressources et en coopération avec la Rabita Mohammadia des Oulémas, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et des experts spécialisés. Il repose sur trois axes principaux : la réconciliation avec soi-même, la réconciliation avec le texte religieux et la réconciliation avec la société.
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