Libéré le mardi 23 mars de manière provisoire sur ordre judiciaire, l’historien et militant pour les droits de l’Homme Maati Monjib n’a pas tardé à attaquer de nouveau les institutions de l’État. Il a qualifié ces dernières de «police politique» qui cherchent à réprimer les journalistes et les figures d’opposition au Maroc. Des accusations, qui ont été qualifiées d’«irresponsables» et «tendancieuses» par le ministère de l’Intérieur, qui a tenu à rappeler que Monjib est toujours poursuivi pour blanchiment d’argent…
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