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La capitale gabonaise, Libreville, abrite, du 24 au 26 mai, la 2e édition du Festival international du livre gabonais et des arts (FILIGA), sous le thème « Littérature et écologie : écrire la nature à l’aune des bouleversements climatiques ».
Le Maroc est l’invité d’honneur de cette édition. Dix-sept autres pays sont également présents. Le thème choisi pour cette édition s’inscrit dans la logique de préservation de l’environnement et des écosystèmes, qui représentent l’essence même de la vie sur terre et dont l’enjeu demeure prioritaire.
«Nous voulons contribuer au processus de l’évolution de la société par la culture. Nous croyons vraiment que la littérature a la capacité de sensibiliser positivement le public. Car de nombreux livres concourent au processus de développement par des messages qu’ils véhiculent et qui éveillent nos consciences», a affirmé le président du FILIGA, Rosny Le Sage Souaga.
De son côté, le représentant de l’UNESCO au Gabon, Thierry Nzamba, a salué de telles initiatives «au service de l’art et de la créativité des auteurs culturels».
«Notre plaisir est d’autant plus grand encore que cette belle initiative artistique et culturelle s’inscrit pleinement dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action 2023-2025, pour les industries culturelles et créatives au Gabon, élaboré par le ministère de la Culture et des Arts, avec le soutien de l’UNESCO et de l’UE et la participation très active des acteurs culturels», a-t-il souligné.
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