Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
L’incident survenu dans la nuit du 28 au 29 octobre à Es-Smara, au cours duquel des tirs de projectiles ont été lancées, provoquant le décès d’un jeune de 23 ans, a suscité une réaction officielle du Maroc par l’intermédiaire de son représentant permanent auprès des Nations unies à New York, Omar Hilale.
S’exprimant devant la presse à l’issue du vote du Conseil de sécurité prorogeant le mandat de la Minurso, Hilale a pointé du doigt le Polisario comme le responsable le plus probable des tirs.
Bien que le Polisario n’ait pas publiquement revendiqué ces tirs, il est important de noter qu’il a reconnu, dans un communiqué daté du 29 octobre, avoir ciblé ce qu’il a qualifié de secteur d »Es-Smara. De plus, aucune déclaration formelle de démenti n’a été émise de sa part. «En l’absence de tout démenti de sa part, cela l’implique directement», a tranché Omar Hilale, qui estime que son silence ne fait que confirmer son rôle dans ces explosions.
Le représentant marocain à l’ONU n’a pas manqué de rappeler que le droit international, le droit humanitaire international et les résolutions du Conseil de sécurité qualifient toute attaque et tout ciblage des civils dans les villes civiles comme des actes terroristes, voire des actes de guerre. De ce fait, de telles actions engagent des conséquences légales et des responsabilités.
Pour Hilale, cet acte ne restera pas impuni
D’ailleurs, Hilale a promis que les tirs présumés du Polisario «ne resteront pas impunis et que les responsables devront assumer leur responsabilité juridique, mais également politique». Il a aussi soulevé la possibilité de l’implication d’autres acteurs, notamment «ceux qui les abritent, ceux qui leur fournissent les missiles ou les Katiouchas ou les mortiers», faisant référence à l’Algérie.
«Quand il y a une déflagration, ça laisse des traces. Ça laisse parfois des indices techniques de l’origine qui va permettre au Maroc la traçabilité de l’explosif et la traçabilité du missile Katioucha ou du mortier. À ce moment-là, le Maroc prendra les décisions qui s’imposeront», a-t-il conclu.
Temps de lecture : 2 minutes
Rencontres stratégiques entre Hammouchi et des chefs de la police espagnoleLe directeur général de la sûreté nationale et de la surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi, a eu une série d'entretiens avec ses … |
Conseil de gouvernement : avancées législatives et administrativesLe jeudi 9 mai, le Conseil de gouvernement, présidé par Aziz Akhannouch, s’est réuni pour examiner et adopter plusieurs projets de décrets a… |
Nasser Bourita : le roi Mohammed VI fait des droits de l’Homme le pilier d’une société moderne et apaiséeLors du deuxième séminaire international sur les mécanismes nationaux de mise en œuvre et d’élaboration de rapports sur les droits de l'Homm… |
DIDH : le Maroc conteste la partialité du rapport d’Amnesty InternationalLa Délégation interministérielle aux droits de l’Homme (DIDH) a critiqué le dernier rapport d’Amnesty International (AI) sur le Maroc, publi… |
Maroc-Pérou : accord de jumelage entre Dakhla-Oued Eddahab et PiuraLe Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab et le gouvernement régional de Piura, au Pérou, ont signé un accord de jumelage mardi à Dakhla, … |
Le Roi reçoit le ministre d’État saoudien, porteur d’un message du roi Salmane Ben Abdelaziz Al SaoudLe roi Mohammed VI a reçu ce mardi au palais royal de Casablanca le prince Turki Ben Mohammed Ben Fahd Ben Abdelaziz Al Saoud, ministre d'Ét… |
Maroc-OIT : Aziz Akhannouch rencontre Gilbert HoungboLe chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a reçu ce mardi à Rabat, le directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT), G… |
Maroc-Bahreïn : Bourita reçoit son homologue bahreïniLe ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidents à l'étranger, Nasser Bourita, a reçu, ce mardi à… |