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Dans le cadre de sa stratégie fondée sur l’effectivité des droits, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) s’implique davantage dans le chantier de réforme du Code de la famille, qui fait actuellement l’objet d’un débat national.
Un groupe de travail a été créé sous la direction de la présidente Amina Bouayach. Sa mission consistera à soulever les problématiques liées aux dispositions de la Moudawana, tout en adoptant une approche des questions familiales, des droits des femmes et des enfants.
Il sera également appelé à formuler des propositions et d’assurer la réalisation de l’égalité et de la non-discrimination, en menant une réflexion collective, basée sur l’échange de visions et l’enrichissement de la discussion sur les dispositions du Code, ainsi que les moyens de les harmoniser avec les conventions internationales et les dispositions constitutionnelles.
Lire aussi : Réforme de la Moudawana : à quoi faut-il s’attendre ?
«Nous avons adopté des critères de sélection des membres de ce groupe, dont la pluridisciplinarité, le travail de terrain, la compétence et l’engagement, à travers lesquels le Conseil cherche à soumettre des propositions d’amendements qui garantissent le respect de la dignité de l’humain et lui permettent de faire le choix le plus approprié pour sa vie et assurer l’intérêt supérieur de l’enfant», a fait savoir Amina Bouayach.
Parmi les membres de ce groupe de travail, on cite Salma Taoud, présidente de la commission régionale des droits de l’Homme dans la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, les membres du CNDH, Zahira Fountir et Nezha Guessous, ainsi que de Zhor El Horr, coordinatrice du mécanisme national de protection des droits des personnes en situation de handicap.
Latifa Jbabdi, membre du bureau exécutif de l’Union de l’action féminine, fait également partie de cette commission, aux côtés de Jamila Kermouma, vice-présidente de la Fédération des ligues des droits des femmes, d’Amina Lotfi, présidente de l’association démocratique des femmes du Maroc et de sa vice-présidente, Atifa Timjerdine, en plus des enseignants chercheurs, Hassan Rahhou et Mohamed Sassi.
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