Affaire de viol : Saad Lamjarred se défend
Le chanteur marocain Saad Lamjarred © DR
A
A
A
A
Après près de sept ans, Saad Lamjarred s’est présenté, le 20 février, devant la cour d’assises de Paris pour viol aggravé et violences volontaires. Depuis le début de l’instruction, il nie tout acte répréhensible à l’égard de la présumée victime, Laura Prioul.
Pour la première fois, Ghita El Allaki a pris la parole en tant qu’épouse de l’accusé. Elle l’a décrit comme étant une personne innocente, affectueuse et douce. «C’est une personne très aimante, très affectueuse. En tant que femme, il a toujours été là à l’écoute, pas seulement pour moi, mais aussi pour sa famille», a-t-elle déclaré, d’après les transcriptions de la journaliste de RMC Info, Marion Dubreuil, présente au procès.
Au palais de justice pour suivre le procès pour #viol de Saad Lamjarred @RMCInfo Laura la partie civile a fondu en larmes en arrivant dans la salle d’audience quand elle a aperçu le chanteur marocain
— Marion Dubreuil (@MarionDub) February 20, 2023
«Je suis persuadée que la personne que je connais avec laquelle j’ai vécu pendant longtemps n’est pas une personne qui aurait pu commettre les faits qui lui sont reprochés aujourd’hui», a-t-elle répondu. En outre, elle a affirmé : «Je ne sais pas pourquoi cette femme l’accuse de cela, ce que je sais c’est que ça fait sept ans que mon mari le vit très mal».
Lire aussi : Viol : l’affaire Saad Lamjarred refait surface
Pour rappel, Saad Lamjarred a été arrêté le 26 octobre 2016 à Paris et placé en détention provisoire pour «viol aggravé». Le chanteur a nié toutes ces accusations en assurant qu’il avait eu des relations sexuelles consensuelles avec la présumée victime, âgée de 20 ans à l’époque.
En France, L’article 222-23 sur le viol stipule que «tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, ou tout acte bucco-génital commis sur la personne d’autrui ou sur la personne de l’auteur par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol. Le viol est puni de quinze ans de réclusion criminelle».
Société - Découvrez la nouvelle plateforme pour le suivi des décès maternels, lancée par le ministère de la Santé à Rabat.
Mouna Aghlal - 20 novembre 2025Politique - Le Procureur général du Roi présente des changements clés pour les parquets du Royaume. Découvrez les implications essentielles.
Mouna Aghlal - 20 novembre 2025Société - Les parents ou tuteurs doivent impérativement déposer un certificat de scolarité dans un délai d’un mois via le service en ligne « Taawidaty ».
Rédaction LeBrief - 20 novembre 2025Société - La DGSN dément une vidéo montrant un enfant agressé, faussement attribuée à une école marocaine, et confirme qu’elle provient d’un pays asiatique.
Hajar Toufik - 20 novembre 2025Société - La tutelle plaide la pénurie de chlorure de potassium, l'opposition veut les détails de chaque appel d'offre octroyé par l'AMMPS.
Rédaction LeBrief - 20 novembre 2025Société - La coordination syndicale du secteur de la santé refuse toute rencontre avec le ministère tant qu’un calendrier précis n’est pas fixé pour valider les décrets liés à l’accord du 23 juillet 2025.
Ilyasse Rhamir - 19 novembre 2025Société - Soixante figures marocaines appellent le roi Mohammed VI à lancer des réformes profondes en phase avec les revendications de la jeunesse.
Hajar Toufik - 8 octobre 2025Dossier - Des piétons qui traversent d’un trottoir à l’autre, des voitures qui zigzaguent… À croire que les Casablancais vivent dans un jeu vidéo, sans bouton pause.
Sabrina El Faiz - 12 avril 2025Société - Les manifestations de la « GenZ 212 », poursuivent leur mobilisation à travers un appel au boycott des entreprises liées à Aziz Akhannouch.
Ilyasse Rhamir - 7 octobre 2025Société - Au Maroc, on peut rater son permis de conduire, son bac… Mais rater son mariage ? Inenvisageable !
Sabrina El Faiz - 23 août 2025Dossier - Au Maroc, pour définir le terme classe moyenne, nous parlons de revenus. Cela ne veut pourtant plus rien dire.
Sabrina El Faiz - 5 juillet 2025Dossier - Un faux témoignage peut envoyer un innocent en prison ou blanchir un coupable. Un faux diplôme casse la méritocratie. Un faux certificat peut éviter une sentence.
Sabrina El Faiz - 24 mai 2025