Le Conseil supérieur des Ouléma tient sa 35ᵉ session printanière les 23 et 24 mai à Rabat
Le siège du Conseil Supérieur des Ouléma © DR
A
A
A
A
Avec la haute approbation du roi Mohammed VI, président du Conseil supérieur des Ouléma, cette instance religieuse nationale tiendra sa 35ᵉ session printanière ordinaire les 23 et 24 mai à Rabat.
Les travaux de cette session débuteront vendredi 23 mai, après la prière d’Al Asr, au siège du secrétariat général du Conseil, indique un communiqué de l’institution.
À l’ordre du jour de cette rencontre figurent plusieurs dossiers majeurs liés à la mission d’encadrement religieux confiée au Conseil. Les différentes commissions s’attèleront notamment à l’examen du programme «Charte des Ouléma», dans le cadre de la mise en œuvre du plan de communication religieuse dit Tabligh. Ce programme vise à renforcer l’efficacité du discours religieux en favorisant la clarté, la modération et l’ouverture sur la société.
Il sera également question d’approfondir le plan de communication du Conseil, dans une perspective d’interaction avec les institutions partenaires et de promotion du rôle des Ouléma dans l’espace public.
Par ailleurs, les discussions porteront sur l’état d’avancement de la gestion régionale des conseils des Ouléma, afin d’harmoniser les méthodes de travail et d’améliorer la coordination entre les différentes entités.
Cette session fera aussi le point sur les activités de l’autorité chargée de la Fatwa depuis la dernière session, ainsi que sur les travaux de la commission scientifique des études et recherches et de celle dédiée à la revivification du patrimoine islamique.
La tenue de cette session s’inscrit dans le cadre des dispositions du dahir 1.03.300 du 2 Rabii I 1425 (22 avril 2004), relatif à la réorganisation des Conseils des Ouléma, modifié et complété, ainsi que des dahirs n° 1.04.231 du 7 Moharram 1426 (16 février 2005), n° 1.23.47 et n° 1.23.48 du 26 Dou Al Kiada 1444 (15 juin 2023), qui encadrent le fonctionnement et le règlement intérieur du Conseil supérieur des Ouléma.
Société - Découvrez la nouvelle plateforme pour le suivi des décès maternels, lancée par le ministère de la Santé à Rabat.
Mouna Aghlal - 20 novembre 2025Politique - Le Procureur général du Roi présente des changements clés pour les parquets du Royaume. Découvrez les implications essentielles.
Mouna Aghlal - 20 novembre 2025Société - Les parents ou tuteurs doivent impérativement déposer un certificat de scolarité dans un délai d’un mois via le service en ligne « Taawidaty ».
Rédaction LeBrief - 20 novembre 2025Société - La DGSN dément une vidéo montrant un enfant agressé, faussement attribuée à une école marocaine, et confirme qu’elle provient d’un pays asiatique.
Hajar Toufik - 20 novembre 2025Société - La tutelle plaide la pénurie de chlorure de potassium, l'opposition veut les détails de chaque appel d'offre octroyé par l'AMMPS.
Rédaction LeBrief - 20 novembre 2025Société - La coordination syndicale du secteur de la santé refuse toute rencontre avec le ministère tant qu’un calendrier précis n’est pas fixé pour valider les décrets liés à l’accord du 23 juillet 2025.
Ilyasse Rhamir - 19 novembre 2025Société - Soixante figures marocaines appellent le roi Mohammed VI à lancer des réformes profondes en phase avec les revendications de la jeunesse.
Hajar Toufik - 8 octobre 2025Dossier - Des piétons qui traversent d’un trottoir à l’autre, des voitures qui zigzaguent… À croire que les Casablancais vivent dans un jeu vidéo, sans bouton pause.
Sabrina El Faiz - 12 avril 2025Société - Les manifestations de la « GenZ 212 », poursuivent leur mobilisation à travers un appel au boycott des entreprises liées à Aziz Akhannouch.
Ilyasse Rhamir - 7 octobre 2025Société - Au Maroc, on peut rater son permis de conduire, son bac… Mais rater son mariage ? Inenvisageable !
Sabrina El Faiz - 23 août 2025Dossier - Au Maroc, pour définir le terme classe moyenne, nous parlons de revenus. Cela ne veut pourtant plus rien dire.
Sabrina El Faiz - 5 juillet 2025Dossier - Un faux témoignage peut envoyer un innocent en prison ou blanchir un coupable. Un faux diplôme casse la méritocratie. Un faux certificat peut éviter une sentence.
Sabrina El Faiz - 24 mai 2025