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Mardi dernier, l’Université Euro-Méditerranéenne de Fès (UEMF) et ses partenaires, notamment le Conseil de la région Fès-Meknès, la branche Fès-Taza de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et la société Alten Delivery Center-Maroc, ont diffusé un communiqué annonçant le lancement du projet de la zone industrielle Fez Smart Factory (FSF). Ce dernier, qui sera aménagé sur le campus de l’UEMF sur une superficie de 11 Ha, a été présenté par les quatre partenaires lors d’un événement tenu à l’université.
Dotée d’un investissement de 104 millions de dirhams, cette zone industrielle sera cofinancée par l’Agence Millennium Challenge Account-Morocco (MCA-Morocco) via un apport du Fonds des zones industrielles durables (FONZID) à hauteur de près de 50% du coût du projet et la Région Fès-Meknès, indique le communiqué. Cette zone industrielle durable vise à répondre aux besoins d’amélioration de la productivité industrielle et des performances environnementales et sociales, par la mise à profit des concepts de l’industrie 4.0. Ce projet est de plusieurs espaces dédiés aux services de transfert de technologie, d’ingénierie, d’innovation et de recherche & développement (R&D) et de recherche technologique (R&T). Il comprend un incubateur, un accélérateur de startups, des sociétés d’ingénierie et des entités de R&D et de R&T. La zone comprendra également la première usine modèle 4.0 au Maroc, 93 lots industriels destinés à des usines intelligentes, une salle de conférence, un hall d’exposition, un restaurant, un service médical, un guichet unique, une crèche ainsi qu’un bâtiment dédié aux services d’innovation, fait savoir le communiqué. Ce dernier pourra accueillir environ 40 porteurs de projets, 30 startups, 10 sociétés d’ingénierie, 5 entités de R&D et R&T et une dizaine d’investisseurs dans le business center.
Notons que ce projet, qui a bénéficié du soutien du FONZID suite à un appel à projets concurrentiel, devrait générer plus de 5 milliards de dirhams d’investissements et plus de 5000 emplois directs hautement qualifiés. «Pour y parvenir, le projet FSF profitera de l’appui des compétences de l’UEMF et de ses plateformes à la fine pointe de la technologie (la plus grande plateforme d’impression 3D du pays et la première École d’ingénierie digitale et d’Intelligence artificielle en Afrique)», conclut la même source.
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