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La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a tenu ce jeudi 24 septembre son Conseil d’administration (CA). Selon Médias24, le CA a «nommé les présidents des conseils d’Affaires des États-Unis, de la Jordanie, de la Tunisie, du Qatar, de l’Allemagne, de la Chine, d’Arabie Saoudite et de celui des pays signataires de l’Accord d’Agadir». Lors de cette réunion, dirigée par le président de la CGEM Chakib Alj, «le découpage sectoriel et la mise en conformité du découpage régional de la CGEM avec le découpage administratif du Maroc» ont également été abordés. La même source rapporte que les propositions du patronat portant sur le Projet de Loi de Finances (PLF-2021) ont été approuvées par ses administrateurs. Présentées par Hakim Marrakchi et Abdelmejid Faiz, respectivement président et vice-président de la Commission Fiscalité et Douane, lesdites propositions insistent sur la préservation de l’emploi et du tissu productif. De plus, cette réunion a aussi été l’occasion de désigner les représentants de la Confédération auprès de différents organes publics, semi-publics et privés.
Laaziz El Kadiri écarté in extremis de la présidence de la Commission Afrique
Le Conseil d’administration de la Confédération générale a également procédé ce jeudi à la création de la Commission Afrique. Abdou Souleye Diop, associé-gérant du cabinet de conseil Mazars et ancien président de la Commission « Afrique et relations Sud-Sud » de la CGEM sous la présidence de Miriem Bensalah-Chaqroun, a été nommé président de cette nouvelle Commission et Ali Zerouali, vice-président. Cette nomination est intervenue après que celle «prématurée» de Laaziz El Kadiri ait«provoqué des remous» au sein du patronat, précise TelQuel. Même Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, et Mohamed El Kettani, patron du groupe Attijariwafa bank, auraient été contrela désignation d’El Kadiri, affirme Le Desk. Un «dérapage» de ce dernier l’année dernière serait à l’origine de la contestation de sa nomination. TelQuel rappelle ainsi que Laaziz El Kadiri avait remis en cause, en juillet 2019, le projet d’accord portant sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), qui était «piloté par l’Union africaine et qui avait bénéficié du soutien de la diplomatie marocaine». «L’Afrique n’est pas un continent industrialisé. Que va-t-on échanger au juste?? Les échanges vont-ils se limiter aux matières premières??», avait-il déclaré à Le360.
Enfin, la nouvelle Commission Afrique de la CGEM aura beaucoup de travail sur la planche. Elle se chargera notamment de la centralisation des dossiers relatifs à l’activité des entreprises marocaines sur le continent.
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