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Le gouvernement installé dans l’est de la Libye a démissionné après l’éclatement de plusieurs protestations, dénonçant la détérioration des conditions de vie et la corruption. C’est désormais au Parlement de Tobrouk d’approuver ou non cette décision. Selon la BBC, l’annonce du gouvernement de l’Est intervient après quedes manifestants ont mis le feu à son siège à Benghazi le week-end dernier. Ils ont également affronté pour la première fois les forces armées du général Khalifa Haftar dans le bastion d’Al-Marj.
De son côté, la mission des Nations Unies en Libye a «exprimé sa vive inquiétude» à la suite de l’annonce de la mort d’un civil. L’AFP rapporte que des hommes de Haftar ont ouvert le feu sur des protestataires qui ont pénétré de force dans un poste de police, blessant cinq personnes. Un porte-parole du général a pour sa partdéclaré que l’administration soutenait les manifestations pacifiques, mais qu’elle ne permettrait pas que «les terroristes et les Frères musulmans» les détournent.
Rappelons que la Libye est devenue le théâtre de violences et d’affrontements depuis que le colonel Mouammar Kadhafi a été renversé et tué en 2011 par les alliés de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Jusqu’à présent, les protestations dans le pays se sont surtout concentrées dans la capitale, Tripoli, qui abrite le Gouvernement d’accord national (GNA) reconnu par les Nations Unies.
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