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Dimanche 16 août à Minsk, en Biélorussie, près de 100000 manifestants se sont rassemblés dans le cadre d’une « Marche de la liberté »pour réclamer le départ du président Alexandre Loukachenko, l’autocrate à la tête du pays depuis 1994. Depuis sa réélection dans des conditions contestées, le pays connaît le plus grand mouvement de contestation de son histoire. Ces manifestations, durant lesquelles les affrontements entre forces de l’ordre et manifestants se multiplient, ont fait deux morts.
Face à ce mouvement de contestation, Loukachenko a demandé à ses partisans «de défendre le pays et son indépendance», appelant également à une intervention russe. En réponse à l’appel de Svetlana Tikhanovskaïa, sa principale rivale, réfugiée en Lituanie, réclamant l’organisation d’élections justes, il a lancé : «si nous faisons ça, nous partirons en vrille et nous n’en reviendrons jamais».
Par ailleurs, en raison de l’aggravation des tensions, ce mercredi 19 août, les 27 dirigeants de l’Union européenne tiendront un sommet extraordinaire pour discuter de la situation en Biélorussie. «Le peuple du Bélarus a le droit de décider de son avenir et d’élire librement son dirigeant. La violence contre les manifestants est inacceptable», a déclaré Charles Michel, président du Conseil européen.
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