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Alors que le déconfinement se rapproche, le Conseil de veille stratégique travaille sur les plans de relance de l’économie. À cause de la pandémie du coronavirus, le Maroc devrait enregistrer sa pire performance sur les 25 dernières années. En plus de Damane Oxygène qui a été étendu jusqu’au 31 décembre, un fonds de garantie spécifique sera créé pour permettre aux Établissements et Entreprises publics (EEP) impactés par le COVID-19 de lever de nouvelles ressources financières nécessaires au renforcement de leurs financements permanents et, ce faisant, assurer un développement soutenable et durable de leurs activités.
Les plans sectoriels de relance de l’économie
Pour sortir du tunnel, la CGEM a déjà son plan de route. Pas moins de 500 mesures recueillies auprès des fédérations sectorielles seront proposées dans le cadre de l’élaboration du plan national de relance de l’économie, rapporte notre confrère Aujourd’hui le Maroc qui cite Mehdi Tazi, vice-président général de la CGEM.
Ce dernier participait à un webinaire organisé par l’Association pour le progrès des dirigeants (APD). Sans rentrer dans le détail, le dirigeant indique que les mesures seront scindées en quatre catégories.
La première englobe les mesures de contingence. «Elles s’appliqueront dans le cas où le démarrage de l’activité s’effectuera en mode dégradé compte tenu de l’arrêt. La question est de savoir si l’État va aider ce type d’entreprise en attendant que la demande puisse reprendre», explique le dirigeant au quotidien.
Une deuxième vague de mesures se focalise sur le financement. L’objectif étant de permettre aux entreprises d’accéder au financement sur des durées longues à des conditions plus compétitives qu’aujourd’hui. C’est-à-dire la possibilité d’avoir des taux d’intérêt inférieurs à 4%.
Par ailleurs, tout le monde s’accorde à dire qu’il faut maintenir l’investissement public afin de soutenir la reprise. Le troisième pavé de mesures concerne la commande publique.
Enfin, des propositions seront également formulées pour l’accompagnement du secteur informel. À ce niveau, le plaidoyer du patronat est clair. L’objectif est de favoriser l’inclusion sociale à travers notamment l’augmentation du taux de bancarisation. Dans ce type de catégorie, des mesures de simplification de l’acte administratif ont également été proposées, rapporte Aujourd’hui le Maroc.
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