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Une fois n’est pas coutume, les vacances scolaires du printemps n’auront pas lieu en 2020. En effet, le ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi, a décidé d’annuler les vacances scolaires duprintemps et de poursuivre les cours à distance pour l’ensemble des cycles d’enseignement. «Cette décision est prise pour permettre aux élèves, aux étudiants et aux stagiaires de la formation professionnelle, de suivre leurs cours à distance sans rupture», explique le ministère dans un communiqué officiel rendu public ce dimanche.
Pour Amzazi, les réactions des familles sont favorables et ces derniers souhaitent que leurs enfants gardent le rythme du travail à distance. «Nous allons continuer à dispenser l’enseignement à distance. Le dispositif a été renforcé. Nous ne sommes pas limités à la quatrième chaîne. Le contenu pédagogique est diffusé aussi sur la chaîne de Laâyoune de 8h à 19H et sur Al Amazighia de 8H jusqu’à midi afin de pouvoir couvrir tous les niveaux et pour que chacun puisse s’y retrouver. On peut critiquer le dispositif mis en place, mais je tiens à souligner que nous avons fait dumieux que nous pouvions en si peu de temps».
Des décisions qui font jaser
Certaines décisionsdu gouvernement n’ont pas été du goût des syndicats de l’enseignement, notamment ceux de la Fédération nationale de l’éducation (FNE). Dans un communiqué rendu public le week-end dernier, la FNEconsidère que lereportdes promotions des enseignant(e)s de l’éducation etl’annulation des concours d’embauchesont des décisions « injustes ». Le syndicatproteste également contre les retenues sur les salaires des enseignants estimant que ce sont«des droits acquis des femmes et hommes du secteur, déterminés par les Lois de Finances, et protégés par la législation».
Par ailleurs, la Fédération nationale de l’éducation a également critiqué le programme d’enseignement à distance mis en place par le ministère de l’Éducation nationale. Le syndicat déplore des «structures faibles», un «manque d’espaces et de logistique», ainsi qu’une «absence de supervision et de formations réelles dirigées par le personnel enseignant, l’autorité de surveillance de l’éducation aux niveaux centraux, provincial et régional».
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