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Ce jeudi 26 mars, dans un renversement inattendu, l’Australien accusé d’avoir assassiné 51 fidèles musulmans en Nouvelle-Zélande a plaidé coupable à tous les chefs d’accusation prononcés à son encontre. Ainsi, son procès, qui devait s’ouvrir le 2 juin à Christchurch, est annulé. L’accusé vadécouvrir sa condamnation ultérieurement, a annoncé le juge. Le meurtrier risque de passer le reste de sa vie derrière les barreaux. Alors que la peine de mort n’existent pas en Nouvelle-Zélande, les accusations d’acte terroriste et de meurtre sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.
Brenton Tarrant, suprémaciste blanc autoproclamé âgé de 29 ans, est accusé d’avoir exécuté, en mars 2019, la plus grande tuerie de masse de l’histoire moderne de la Nouvelle-Zélande. Il avait jusqu’à présent toujours nié les 51 accusations de meurtre, les 40 accusations de tentative de meurtre et une autre accusation d’acte terroriste.
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