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Dimanche 22 mars en Guinée, au moins dix manifestants ont été tués par les forces de l’ordre, en marge d’un référendum constitutionnel et des législatives ternis par des violences. Ce bilan, qui a été partagé par le FNDC, le collectif de partis d’opposition et de la société civile, n’a toutefois pas été confirmé par d’autres sources.
Bien que la fin du vote a été fixée à 18h, les bureaux ont fermé plus tôt que prévu à cause des violences. Les manifestants anti-Condé ont «bravé les balles des forces de l’ordretuant au moins dix personnes et en blessantplusieurs dizaines», a indiquéle FNDC dans un communiqué. Ces affrontements ont eu lieu devant des bureaux de vote dans des banlieues de Conakry comme Cosa, Hamdallaye, Dar-es-salam et Lambanyi.
Le collectif, qui a boycotté ces scrutins pour lutter contre un éventuel troisième mandat du président Alpha Condé, «appelle à intensifier les manifestations demain lundi 23 mars et mardi 24 mars 2020 avec pour objectif ultime, le départ du dictateur».
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