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L’heure est au rassemblement. Le chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, devrait s’entretenir dans les prochains jours avec les secrétaires généraux des différents partis politiques. L’objet de la rencontre est d’organiser les prochaines campagnes législatives. Le journal Al Massae affirme, dans son numéro du vendredi 28 février 2020, que la réunion d’El Otmani avec les partis politiques sera suivie d’une autre réunion qui liera cette fois-ci le ministère de l’Intérieur aux partis politiques. Cette dernière sera consacrée à la présentation de l’évaluation générale du gouvernement sur la façon d’organiser les élections de 2021.
La même source souligne que ces appels de réunions sont demandés par certains partis politiques, dont l’Istiqlal, l’USFP et le PPS. Ces derniers veulent lancer le processus de discussions suffisamment à l’avance pour que les élections se déroulent dans les meilleures conditions.
Unifier le seuil d’éligibilité à 3%
L’échéance de 2021 présente la particularité de coïncider avec la fin de différents mandats électoraux. Il s’agira donc d’organiser les élections communales, régionales, législatives, celles des différentes chambres professionnelles et le scrutin des représentants des salariés.
D’après l’Économiste, l’Istiqlal et l’USFP sont en train de préparer des propositions qu’ils comptent soumettre au gouvernement pour la réforme des lois électorales. Une commission composée de deux membres de chaque formation s’est réunie lundi pour avancer sur ce dossier. Parmi ces changements qu’ils proposent dans les lois électorales, la réforme de la loi sur les partis.
L’Istiqlal et l’USFP souhaitent en effet unifier le seuil d’éligibilité pour les deux élections. Le seuil d’éligibilité pour avoir des sièges au parlement est aujourd’hui fixé à 3% du total des votes pour les élections législatives et à 6% pour les collectivités territoriales. Ils demandent d’unifier ce seuil à 3% pour les deux élections. Reste à savoir maintenant si le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, sera du même avis…
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