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Le Réseau des femmes parlementaires arabes pour l’égalité (Ra’Edat) vient de publier une étude sur l’ampleur de la violence à l’égard des femmes parlementaires dans le monde arabe. Les résultats ont révélé que 79,6% d’entre elles ont subi une ou plusieurs formes de violence. Cette étude, menée sur un échantillon de 370 femmes parlementaires issues de 15 pays arabes, a également montré que 76,2% des sondées ont été exposées à des violences psychologiques, tandis que 47,1% ont été victimes de violence verbale et de harcèlement sexiste. De plus, 32% des femmes parlementaires arabes ont subi des formes de violence physique et 5,7% ont subi des violences sexuelles. 34,3% de l’échantillonont été victimes de violences économiques, notamment des agressions contre leurs biens ou la privation d’opportunités d’emploi en raison de leur sexe.
Les femmes parlementaires faisant partie de l’échantillon de l’étude ont déclaré que leur exposition à la violence leur faisait ressentir de la peur (47%) ou les a poussées à restreindre leur liberté d’expression (37,7%), à limiter leur activité politique (31,7%), à s’abstenir de participer à des manifestations publiques (19,1%) et à se retirer de l’action politique (12,5%).
Par ailleurs, la violence en ligne est la plus répandue, avec 32% des sondées déclarant avoir subi du harcèlement sur les réseaux sociaux. Elles ont également été victimes de violences lors des rassemblements électoraux et des partis (16%) et dans la rue (15%). 22,2% des femmes parlementaires qui avaient subi des violences n’ont pas déposé de plainte, alors que 21% ont signalé les incidents à la police et 15% sont allées devant les tribunaux.
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