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Alors que les échanges d’hostilités se poursuivent entre Washington et Téhéran, quelque 58 millions d’Iraniens sont appelés à élire leurs députés, ce vendredi 21 février. Ces élections législatives cruciales devraient accroître la pression sur le président Hassan Rohani, déjà en difficulté. À l’ouverture du scrutin, l’ayatollah Ali Khamenei, Guide suprême de la République islamique, a appelé à une participation massive afin de «garantir l’intérêt national», ajoutant que voter est «une obligation religieuse».
Cette législature, la onzième depuis la révolution islamique de 1979, intervient alors que l’Iran traverse une violente récession. De plus, l’évincement de plus de 9 000 candidats potentiels, pour la plupart des réformistes et des modérés, pourrait provoquer un boycott national du scrutin. Après ces disqualifications massives par le Conseil des gardiens, un organe contrôlé par les conservateurs chargés de la gestion des élections, moins de 7 200 candidats sont en lice pour décrocher les 290 sièges du Parlement, a précisé le ministère de l’Intérieur. Ainsi, ce scrutin pourrait signer le retour des conservateurs.
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