Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Ce lundi 10 février en Allemagne, la présidente du parti l’Union chrétienne-démocrate (CDU), Annegret Kramp-Karrenbauer, dite « AKK », a annoncé sa décision de ne pas présenter sa candidature à la chancellerie lors des prochaines élections législatives de l’automne 2021. Cette décision inattendue devrait rendre le règne d’Angela Merkel encore plus compliqué que prévu. En effet, le retrait d’AKK, annoncé un an après sa succession à Angela Merkel à la tête du CDU, plonge le parti dans l’une des plus graves crises de son histoire.
Cette démission surpriseest la conséquence de la crise politique en Thuringe. Mercredi dernier, Kramp-Karrenbauer était incapable de ramener l’ordre dans son parti après le tollé provoqué par l’élection d’un candidat libéral-démocrate (FDP) à la tête de la Thuringe grâce aux voix de la CDU et de l’AfD (extrême droite). Selon l’AFP, lors d’une réunion convoquée avant son départ, AKK a expliqué qu’une «partie de la CDU a une relation non clarifiée avec l’AfD» ainsi qu’avec le parti de gauche radicale Die Linke, ajoutant qu’elle «rejette toute alliance avec l’une ou l’autre de ces formations».
La succession de Kramp-Karrenbauer doit se mettre en place d’icil’été prochain, de préférence avant que l’Allemagne ne prenne la présidence de l’Union européenne, en juillet. AKK a en effet annoncé avoir décidé de rester à sa tête jusqu’à l’élection du prochain président de la CDU et futur candidat du parti au poste de chancelier.
Temps de lecture : 2 minutes
L’INLW condamne les atteintes aux droits des femmes à TindoufLors d'un événement parallèle organisé en marge de la 68e session de la Commission de la condition de la femme de l'ONU, qui s'est tenue du … |
Le bitcoin dans une spirale descendanteLe bitcoin continue sa descente, passant sous la barre des 61.000 dollars et s'approchant du seuil des 60.000 dollars. Une chute qui marque … |