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Un tribunal britannique a condamné Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, à 50 semaines de prison ce mercredi 1er mai, pour avoir outrepassé sa caution lorsqu’il s’est réfugié à l’ambassade de l’Équateur à Londres il y a sept ans.
Son travail juridique complexe est loin d’être terminé : Les États-Unis demandent l’extradition d’Assange pour qu’il y soit poursuivi. Suite à cette requête, une première audience est prévue ce jeudi. Les autorités suédoises ont également laissé ouverte la possibilité qu’il soit poursuivi au niveau pénal dans leur pays.
Assange est inculpé de complot pour piratage d’un réseau informatique du Pentagone ; un acte fédéral l’accuse d’avoir aidé un soldat à télécharger de manière illégale des informations confidentielles en 2010, notamment sur les guerres en Irak et en Afghanistan, que WikiLeaks a rendues publiques. Il a nié l’accusation.
Âgé de 47 ans, Assange a été arrêté le 11 avril après que le gouvernement équatorien lui ait retiré sa protection et permis à la police de l’emmener hors de son ambassade à Londres, où il résidait depuis 2012. Le même jour, il a comparu en audience et a été reconnu coupable d’avoir omis de payer sa caution.
Alors qu’il est détenu à la prison de Belmarsh, dans l’est de Londres, Assange a fait savoir qu’il ne devrait pas être emprisonné pour cette infraction, car il a effectivement été incarcéré à l’ambassade. Mercredi, à Southwark Crown Court à Londres, la juge Deborah Taylor a rejeté cette demande.
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