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L’opération d’escroquerie Bab Darna aurait peut-être pu être évitée. Ce mardi 17 décembre, Abdellatif Jouahri, PDG de Bank Al Maghrib (BAM) a mis l’accent sur un point important : le manque de communication entre les banques nationales et Bank-Al Maghrib. Avant de commenter l’affaire Bab Darna, il a souligné la baisse des demandes de renseignement des banques vis-à-vis de BAM en novembre 2019 (-4,25 %), souligne le site Hespress FR.
Concernant le scandale d’escroquerie Bab Darna, qui a fait un nombre important de victimes au Maroc et à l’étranger, Jouahri a déclaré «n’avoir reçu aucune remontée par les banques». Il a précisé que son institution avait recueilli des centaines de déclarations d’incidents de paiement contre Mohammed El Ouardi, président directeur général de Bab Darna.
«?Les gens ont eu des incidents de paiement vis-à-vis de lui, ou des filiales de son groupe. C’est une situation où l’on commence à alerter?», s’est étonné le Wali de BAM. Ce dernier a souligné que l’exposition de trois banques dans cette affaire aatteint les 80 millions de dirhams, rapporte Les Inspirations Éco ce jeudi 19 décembre 2019. Jouahri a déclaré que c’est au ministère de la Justice de déterminer désormais le destin de cet argent volé. Le patron de Bank Al Maghrib a promis de mettre en place un nouveau cadre pour pallier ce genre d’incidents.
Pour rappel, le scandale Bab Darna a fait plus de 1000 victimes, dont 200 Marocains résidents à l’étranger. La somme des avances non restituées estestimée à 400 millions de dirhams. Pour le moment, six personnes ont été arrêtées dans cette affaire. Il s’agit du président-directeur général de la société, le directeur commercial, la directrice financière et administrative, un responsable commercial, un comptable et un notaire casablancais. Le directeur général de Bab Darna fait de son côté l’objet d’un avis de recherche.
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