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ONU : Miriem Bensalah Chaqroun désignée membre de la GISD

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L’organisation des Nations-Unies a annoncé, le mercredi 16 octobre, la désignation de 30 dirigeants influents du monde de l’entreprise, dont la Marocaine Miriem Bensalah-Chaqroun, en tant que membres de l’Alliance des investisseurs mondiaux pour le développement durable (GISD). Les membres de cette Alliance, créée à l’initiative du Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, travailleront ensemble au cours des deux prochaines années pour que des milliers de milliards de dollars du secteur privé financent les Objectifs de développement durable (ODD).

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Miriem Bensalah-Chaqroun a été désignée membre de l’Alliance en sa qualité d’Administrateur du Groupe Holmarcom et Vice-Présidente Directeur Générale de la société « Les Eaux Minérales d’Oulmès », rapporte la MAP.

L’Alliance GISD est co-présidée par Oliver Bäte, PDG du Groupe Allianz, et Leila Fourie, PDG de la Bourse de Johannesburg, et compte des dirigeants de grandes entreprises mondiales, telles que Bank of America, Citigroup, ICBC, Infosys, Investec, Santander et UBS.

L’objectif est d’apporter un changement à l’écosystème de l’investissement dans l’objectif d’offrir des opportunités évolutives, aboutir à des financements et des canaux d’investissement novateurs pour le développement durable, et consolider la coopération avec les États membres, les banques multilatérales de développement et d’autres partenaires en matière d’investissement à long terme.

« Je crois fermement que l’investissement dans le développement durable est crucial pour garantir une croissance économique inclusive, réduire les disparités sociales et régionales, et préserver les ressources naturelles », a déclaré, à cette occasion, Meriem Bensalah-Chaqroun. « En tant que membres de l’Alliance GISD, nous visons la création d’opportunités d’investissements alignés avec les ODD, et la promotion de produits financiers innovants et accessibles », a-t-elle assuré.

Selon l’ONU, la plupart des pays développés n’honorent pas leurs engagements en matière d’aide publique dédiés au développement, alors que la pauvreté, la corruption et l’évasion fiscale limitent les ressources nationales des pays en développement.

Les besoins de financement pour le développement sont estimés à des milliers de milliards de dollars par an et, même si le financement provenant de toutes les sources publiques est maximisé, il restera un déficit important rendant le financement du secteur privé impératif.

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