Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
La démarche de Renault fait suite à la décision de son partenaire industriel Nissan de nommer un nouveau directeur général au début de cette semaine.Bolloré a qualifié son limogeaged’un « coup de force ».
Des luttes internes intenses
Bolloré a déclaré à un journal français qu’il n’a eu vent des tentatives de son licenciementque lorsqu’il est descendu d’un avion à Paris le mercredi 9 octobre. Selon lui, le président de Renault, Jean-Dominique Senard, est à l’origine de cette décision et semble avoir reçu l’aval du gouvernement français, actionnaire à 15 % chez Renault.
Alors que s’est-il passé ?
Bolloré a été nommé en janvier, au lendemain du scandale majeur impliquant son prédécesseur, Carlos Ghosn. Ce dernier, quiétait également président de Nissan et président de l’alliance mondiale entre Renault, Nissan et Mitsubishi, a été arrêté l’année dernière à Tokyo. Il est toujours en détention inculpé de fraude financière. Ghosn affirme avoir été victime d’un complot orchestré par des dirigeants de Nissan, qui voulaient empêcher une fusion entre l’entreprise et son partenaire français.
Le licenciement deBolloré — qui était autrefois un proche collaborateur de Carlos Ghosn — vise peut-être,ou du moins en partie, à combler le fossé qui sépare les deux sociétés concernées, même si selon France 24, les mauvaises performances de l’entreprise en sont également un facteur majeur.
Où en est l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi ?
Les relations entre ces grands groupes mondiaux de construction automobile sont encore très fortes.Renault détient en effet43 % des parts de la société japonaise, leurs réseaux logistiques sont étroitement imbriqués et ils partagent conjointement une gamme de technologies. Toutefois, certains experts indiquent que les dommages causés par les bouleversements de l’année écoulée sont profondément ancrés dansl’esprit desdeux entreprises. Il n’est donc pas facile de les garder ensemble et de rétablir une relation cordiale.
Temps de lecture : 2 minutes
L’INLW condamne les atteintes aux droits des femmes à TindoufLors d'un événement parallèle organisé en marge de la 68e session de la Commission de la condition de la femme de l'ONU, qui s'est tenue du … |
Le bitcoin dans une spirale descendanteLe bitcoin continue sa descente, passant sous la barre des 61.000 dollars et s'approchant du seuil des 60.000 dollars. Une chute qui marque … |