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Le mois dernier, les législateurs britanniques ont adopté une loi, connue sous le nom de « loi Benn », qui exige que Johnson envoie une lettre à l’UE pour demander un délai supplémentaire si aucun accord de divorce n’a été conclu avant le 19 octobre, pour arrêter ce que les opposants qualifient de chaos économique.
Cependant, à l’approche du départ de la Grande-Bretagne prévu pour le 31 octobre, Johnson répète qu’il ne demandera pas de délai et qu’il préfère être « mort dans un fossé » plutôt que de réclamer une nouvelle prolongation. Mais il a aussi indiqué qu’il n’enfreindrait pas la loi, qu’il a surnommée « acte de reddition », sans pour autant expliquer cette contradiction apparente.
Les militants anti-Brexit, qui pensent que Johnson utilisera une échappatoire légale ou enverra une deuxième lettre, menaçant de saboter les processus européens s’ils leur accordent un nouveaudélai pour le Brexit, ont demandé à l’Outer House of the Court of Session de l’Écosse de rendre une ordonnance le contraignant à respecter la loi Benn.
« Le gouvernement reconnaît que, dans l’exécution de sa stratégie politique, il doit se conformer à la loi de 2019 », a déclaré le juge Paul Cullen, dans sa décision rejetant leur contestation. « Il ne fait aucun doute que (Johnson) accepte maintenant qu’il doit se conformer aux exigences de cette loi et il a affirmé qu’il a l’intention de la respecter ».
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