Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le Parti socialiste (PS) a obtenu 36,65 % des voix, suivi des sociaux-démocrates de centre droit (PSD) avec 27,9 %, selon les résultats quasi totaux du ministère de l’Intérieur. Le parti de Costa gouverne le pays depuis quatre ans avec l’appui de deux petits partis d’extrême gauche, avec 106 sièges au parlement de 230 sièges, contre 86 sièges à l’assemblée sortante et à peine dix sièges de moins qu’une majorité absolue. Quatre sièges doivent encore être attribués sur la base des résultats des votes obtenus à l’étranger.
Cette élection va à l’encontre de la tendance au déclin des fortunes de centre gauche et de la montée des forces populistes d’extrême droite observées ailleurs en Europe. Une nouvelle formation d’extrême droite, Chega ! ou « That’s Enough! » est entrée pour la première fois au Parlement, mais elle a remporté un seul siège.
Le taux de participation n’a été toutefois que de 54,5 %, le niveau le plus bas pour une élection générale depuis le retour de la démocratie au Portugal après l’effondrement en 1974 d’une dictature de droite qui a duré des décennies. La question qui se pose maintenant est qui Costa, 58 ans, ancien maire de Lisbonne, choisira comme alliés ?
Après les dernières élections générales de 2015, au cours desquelles le PS a terminé deuxième, Costa a convaincu les communistes et le parti de gauche de soutenir un gouvernement socialiste minoritaire, une alliance sans précédent qui s’est fait connaître sous le nom de « geringonca » (étrange machine).
Lors de son discours de victoire, Costa a d’ailleurs déclaré qu’il voulait « renouveler cette expérience » d’une alliance avec la gauche extrême. « L’élection montre que les Portugais aiment la’geringonca’, ils aiment cette solution politique », a-t-il affirmé alors que les supporters scandaient « Victoire ». « La stabilité est essentielle pour la crédibilité internationale du Portugal et pour attirer les investisseurs. Le PS s’efforcera de trouver des solutions qui assurent cette stabilité pour l’ensemble de la législature ».
Temps de lecture : 2 minutes
Espagne : Pedro Sánchez veut démissionner alors que son épouse est sous enquêtePedro Sánchez a pris une décision radicale : il doit faire une pause pour réfléchir à son avenir politique. «J'ai besoin de m'arrêter et de … |
Un Marocain à la tête de la mission de l’OMS au SoudanLe bureau régional de l'organisation mondiale de la santé pour le Moyen-Orient, a annoncé la nomination du marocain Shible Sahbani au poste … |
Gaza : le chef d’état-major israélien approuve la continuation des opérations militairesEn dépit de l'indignation internationale croissante contre la continuation des offensives sur Gaza, le chef d'état-major israélien, Herzi Ha… |
Kendji Girac grièvement blessé par balleLe célèbre chanteur français Kendji Girac a été gravement blessé par balle lundi et a été admis à l'hôpital de Bordeaux, dans le sud-ouest d… |
Explosions dans le centre de l’Iran : les réactions du monde entierPlusieurs explosions ont été signalées tôt vendredi dans le centre de l'Iran, de hauts responsables américains cités par la presse faisant é… |
Le G20 veut taxer les ultra-riches250 milliards de dollars. C’est le montant que pourrait rapporter cette taxe mondiale que le G20 veut appliquer. Le gouvernement brésilien, … |
Elon Musk annonce des frais d’inscription pour les nouveaux utilisateurs de XElon Musk, le propriétaire de X (anciennement Twitter), a annoncé lundi soir que les nouveaux utilisateurs de la plateforme devront payer de… |
Libye : Abdoulaye Bathily démissionne de son poste d’émissaire de l’ONUAbdoulaye Bathily, l'émissaire des Nations unies pour la Libye, a annoncé sa démission mardi, exprimant son désarroi face à l'impossibilité … |