Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le Premier ministre espagnol par intérim, Pedro Sanchez, s’est engagé à éviter une nouvelle élection générale, qui serait la quatrième du pays en autant d’années, et s’efforcera de construire une coalition qui est restée jusqu’à présent insaisissable malgré deux votes parlementaires.
« Je ne vais pas jeter l’éponge», a déclaré Sanchez dans une interview accordée jeudi soir à la chaîne d’information espagnole Tele 5. Les quatre principaux partis politiques doivent « réfléchir à ce qui s’est passé et débloquer cette situation », a-t-il dit.
La candidature de Sanchez au poste de Premier ministre espagnol n’a pas été retenue lors du scrutin parlementaire de jeudi, sa deuxième défaite cette semaine, après que son parti socialiste n’ait pas réussi à régler les conditions d’un rapprochement avec le groupe anti-austérité Podemos. Cette défaite marque le début de l’horloge constitutionnelle en vue d’éventuelles nouvelles élections en novembre.
Cette impasse prolongera l’incertitude politique de l’Espagne alors que le pays continue de se remettre des ravages de la crise financière. Et pour ajouter à l’agitation, le pays est toujours dans un état d’angoisse profonde devant la problématique non résolue de la Catalogne, qui veut se détacher du royaume.
Sur une période de deux mois, Sanchez peut en théorie poursuivre ses efforts pour obtenir une majorité et retourner au parlement, si le roi Felipe VI l’invite à le faire. S’il échoue, le roi dissoudra le parlement et déclenchera de nouvelles élections.
Les socialistes de Sanchez avaient essayé d’obtenir le soutien de Podemos pour réunir une majorité dans l’assemblée. Même s’ils se sont abstenus lors du vote, Podemos, dirigé par Pablo Iglesias, ont gardé ouverte la possibilité de trouver un autre moyen pour travailler ensemble.
« J’assume mon devoir », a déclaré Sanchez lors de cette interview, ajoutant que les partis de droite, le Parti populaire et Ciudadanos, doivent œuvrer au déblocage de cette situation. « Et mon devoir est de former un gouvernement. Je parlerai aux autres partis »
Temps de lecture : 2 minutes
L’INLW condamne les atteintes aux droits des femmes à TindoufLors d'un événement parallèle organisé en marge de la 68e session de la Commission de la condition de la femme de l'ONU, qui s'est tenue du … |
Le bitcoin dans une spirale descendanteLe bitcoin continue sa descente, passant sous la barre des 61.000 dollars et s'approchant du seuil des 60.000 dollars. Une chute qui marque … |