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San Francisco est devenue la première ville américaine à interdire la vente des cigarettes électroniques jusqu’à ce que leurs impacts sur la santé soient mesurés.
Des responsables ont voté, ce mardi 25 juin, pour interdire aux magasins de vendre les vaporisateurs et aux distributeurs en ligne de les livrer à des adresses situées dans la ville.
Le maire de San Francisco, London Breed, a 10 jours pour approuver cette législation, mais a indiqué qu’elle n’hésiterait pas à la valider.
La loi commencerait à être appliquée sept mois après la date de validation, bien que les entreprises concernées ont menacé d’avoir recours à des poursuites judiciaires.
Les activistes antivapotage affirment que les entreprises ciblent délibérément les jeunes en proposant des produits aromatisés.
Les critiques affirment que non seulement des recherches scientifiques plus poussées sont nécessaires pour évaluer l’impact de ces cigarettessur la santé, mais que le vapotage peut encourager les jeunes à passer au tabac.
« C’est une démarche catégorique pour préserver une autre génération d’enfants de San Francisco de devenir dépendants à la nicotine », a déclaré le procureur de la Ville, Dennis Herrera, à l’issue du vote.
Juul, une entreprise américaine qui fabrique des cigarettes électroniques, a déjà amassé les signatures nécessaires pour faire contrer cette loi, indique un communiqué publié ce lundi.
La société a déclaré qu’elle avait pris des mesures pour empêcher les enfants d’utiliser leurs produits et a annoncé son intention de continuer à travailler avec les décideurs et les membres de la communauté sur les mesures règlementaires à adopter.
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