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Un tribunal espagnol a rouvert ce mardi 18 mai une enquête sur les accusations de crimes contre l’humanité portées contre le chef séparatiste Brahim Ghali, dont l’hospitalisation en Espagne a suscité des tensions entre Madrid et Rabat.
Le numéro 1 du Front Polisario, soutenu par l’Algérie, a été admis dans un hôpital de la ville espagnole Logroño depuis mi-avril dernière suite à sa contamination à la Covid-19. Sa présence en Espagne, qui a suscité des tensions entre Madrid et Rabat, a poussé la haute cour espagnole à le convoquer le 1er juin pour répondre aux allégations de torture formulées contre lui par des dissidents du groupe séparatiste.
Outre cette affaire, le juge de l’Audience nationale espagnole Santiago Pedraz a décidé ce mardi de rouvrir un autre dossier à son encontre pour crimes contre l’humanité. Cette plainte a été formulée par l’Association sahraouie pour la défense des droits de l’Homme (ASADEDH), basée en Espagne, indique l’AFP. ASADEDH affirme que plusieurs détracteurs du Polisario ont été détenus contre leur gré dans des camps en Algérie, où ils ont subi des tortures et, dans certains cas, ont même été tués.
La décision du tribunal espagnol intervient alors que quelque 8.000 migrants se sont, depuis lundi, rendus à la nage ou à l’aide de minuscules bateaux gonflables à Sebta, exacerbant davantage les relations entre le Maroc et l’Espagne.
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