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“Renouée du Japon” ou “canne de Provence”, ces plantes ornementales, d’origine exotique, devenues envahissantes dans presque toute l’Europe, se sont trouvées un débouché industriel à Montpellier dans le laboratoire de la chimiste Claude Grison. Cette dernière les valorise sous forme « d’éco-catalyseurs », très demandés par l’industrie pharmaceutique et cosmétique en quête de naturalité.
Au lieu de tenter – vainement – d’éliminer les racines de la plante, l’équipe du CNRS cherche à « épuiser » la plante en la coupant régulièrement, tout en lui trouvant un débouché économique, qui lui-même financera d’autres recherches. Elle mêle ainsi deux disciplines distinctes, l’écologie qui permet une bonne connaissance de la plante et de son fonctionnement, et la chimie, qui identifie les éléments qui la composent et lui trouvent une utilité.
Claude Grison et ses équipes ont déposé au total 36 brevets d’éco-catalyseurs végétaux en se basant sur leurs propriétés, qui varient selon les espèces.
Des plantes ornementales, d'origine exotique, devenues envahissantes dans presque toute l'Europe, se sont trouvé un débouché industriel dans la laboratoire de Montpellier, qui les valorise sous forme "d'éco-catalyseurs" #AFP pic.twitter.com/Fhojw7nbWu
— Agence France-Presse (@afpfr) June 22, 2022
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