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Nicolas Schébéko, qui vit aujourd’hui retiré, a écrit ses souvenirs. En 1914 et pendant dix-huit mois, il a été à Vienne l’Ambassadeur de Russie près la Cour d’Autriche. Ses mémoires sont précieux, parce qu’ils permettent de voir dans le détail tout le développement de la crise d’où est sortie la guerre universelle. Schébéko avait à ce moment-là à Vienne l’attitude qu’ont eue tous les représentants de la Triple-Entente en sol étranger : il faisait l’effort d’écarter les périls de guerre et d’amortir les dangers incessants que l’ambition autrichienne faisait courir à l’Europe.
Ces souvenirs sont un document intéressant, et ils montrent une fois de plus la vanité de la thèse allemande sur l’innocence des Cabinets de Berlin et de Vienne, et sur la responsabilité du Cabinet de Saint-Pétersbourg.
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