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Le roi des Belges, Philippe, achève sa visite de six jours en République démocratique du Congo (RDC), durant laquelle il a exprimé ses «regrets» pour les blessures de la colonisation. Accompagné de son épouse, la reine Mathilde, et de membres du gouvernement belge, le roi Philippe est arrivé mardi dernier à Kinshasa, pour une visite officielle à l’invitation du président de la RDC, Félix Tshisekedi.
C’est la première depuis celle de son père Albert II en 2010, et elle revêt une forte portée symbolique.
Certains Congolais, comme le porte-parole du gouvernement, veulent voir, dans cette visite, le début d’un «nouveau partenariat», «décomplexé», «d’égal à égal», quand d’autres réclament encore excuses et réparations pour les souffrances endurées et les «pillages» des richesses de la RDC.
Il y a deux ans, à l’occasion du 60? anniversaire de l’indépendance de l’ex-Congo belge, le roi Philippe avait exprimé dans une lettre au président congolais ses «plus profonds regrets» pour les «blessures» de la colonisation. Une première historique.
Il avait alors regretté les «actes de violence et de cruauté» commis à l’époque où son ancêtre Léopold II avait fait du Congo sa propriété personnelle (1885-1908), avant le demi-siècle de présence de l’État belge dans l’immense pays d’Afrique centrale.
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