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Au-delà de l’Ukraine, la journée de mercredi est l’occasion pour l’OTAN d’adopter son nouveau « concept stratégique ». Cette première révision de sa feuille de route depuis 2010, devrait évoquer pour la première fois les défis posés par la Chine. Elle est également l’occasion de lancer le processus d’adhésion de la Finlande et de la Suède, qui ont décidé de rejoindre l’OTAN. Une démarche qui intervient en réaction à l’offensive lancée par la Russie en Ukraine le 24 février dernier, rompant avec une longue tradition de neutralité.
Cette adhésion était jusqu’ici bloquée par la Turquie, membre de l’OTAN depuis 1952. Le gouvernement turc accusait notamment Stockholm et Helsinki d’abriter des militants de l’organisation kurde PKK, qu’Ankara considère comme «terroriste». Mais au terme de longues tractations en marge du sommet, la Turquie a donné mardi soir son accord à l’entrée dans l’OTAN de ces deux pays nordiques. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a estimé avoir obtenu leur «pleine coopération» dans sa lutte contre le PKK. «La politique de porte ouverte de l’OTAN» s’est soldée par «un succès historique», a salué Jens Stoltenberg. «L’accueil de la Finlande et de la Suède dans l’alliance les rendra plus sûres, l’OTAN plus forte et la zone euro-atlantique plus sûre», a-t-il insisté.
L’entrée formelle des deux pays, qui doit être ratifiée par les parlements des 30 États membres de l’Alliance, est un long processus qui prend des mois.
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