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La Russie a lancé mardi depuis le Kazakhstan un satellite iranien d’observation sur fond d’inquiétudes. Certains responsables occidentaux craignent que Moscou ne l’utilise pour soutenir son offensive en Ukraine. Ce que Téhéran réfute. Selon l’Agence spatiale iranienne, le satellite de télédétection, baptisé Khayyam, a notamment pour but de «surveiller les frontières du pays, d’améliorer la productivité agricole, de contrôler les ressources hydriques et les catastrophes naturelles». Téhéran soutient également que ses activités aérospatiales sont pacifiques et conformes à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.
Mais pour les États-Unis, le programme spatial iranien est destiné à des fins militaires plus que commerciales. Le quotidien américain The Washington Post a rapporté que la Russie «envisage d’utiliser le satellite pendant plusieurs mois» dans le cadre de son offensive en Ukraine avant d’en céder le contrôle ensuite à l’Iran.
L’Agence spatiale iranienne a assuré dimanche dans un communiqué que «tous les ordres liés au contrôle et à l’opération de ce satellite seront émis dès le premier jour et immédiatement après le lancement par des experts iraniens basés au ministère des Communications iranien». Une affirmation présumée fausse et dénoncée par le journal américain : «aucun pays tiers ne peut accéder aux données» envoyées par le satellite via un «algorithme de cryptage».
Le lancement du satellite, nommé en l’honneur du poète et savant persan Omar Khayyam (1048-1131), a eu lieu trois semaines après une visite du président russe Vladimir Poutine en Iran où il a rencontré le 19 juillet son homologue Ebrahim Raïssi et le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.
Le satellite a été lancé par une fusée Soyouz depuis le cosmodrome russe de Baïkonour à 5h52 GMT, selon des images retransmises en direct par l’Agence spatiale russe Roscosmos.
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