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En ce 10 décembre, la communauté internationale célèbre la journée internationale des droits de l’Homme. L’occasion pour leSecrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) António Guterres de soulignerla nécessité de préserver les valeurs démocratiques et les droits de l’Homme, pour relever les défis mondiaux majeurs posés à l’ère de la Covid-19. «La pandémie a révélé de profondes fragilités, mais nous devons contenir ses répercussions qui ne doivent, en aucun cas, saper les valeurs démocratiques, menacer les droits de l’Homme ou encore être utilisées pour restreindre l’espace civique», a indiqué Guterres dans un message-vidéo diffusé dans le cadre du 13e Forum de Bali pour la démocratie (BDF) qui se tient à Denpasar, en Indonésie. Au moment où les inégalités se creusent davantage et les changements climatiques menacent notre avenir commun, un virus microscopique a secoué fortement l’humanité, a-t-il noté, jugeant que la science, les médecins et la société civile doivent faire partie de la solution pour garantir une sorte d’équité. Au Maroc, le débat autour des droits de l’Homme en ces temps de pandémie tourne autour de trois droits restreints pendant l’état d’urgence sanitaire, à savoir : la liberté de circuler, la liberté de se rassembler et la liberté des pratiques religieusesdans les mosquées.
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