C’est en 2002 que le scrutin de liste a succédé à l’uninominal au Maroc. À l’époque, on pensait permettre aux électeurs de voter pour des partis et des programmes, au lieu de voter pour des personnes, mais au final, on a reproduit le même schéma avec les candidats têtes de liste. Aujourd’hui, la polémique autour du quotient électoral fait rage. Un mécanisme parmi d’autres utilisés pour calculer la répartition des sièges.
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